|
|
|
|
|
HAMZA
12/06/2006 21:49
GUITARIST
Commentaire de holiganze (15/06/2006 12:36) :
hamza moustche tboughasti
|
Commentaire de sarah (20/08/2006 01:14) :
merci beaucoup pour ton commentaire je vais te donné mon nouveaux
l0vely-sarah@hotmail.com
jaime beaucoup ton blog chow
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
HAMZA
12/06/2006 21:40
lord hamza de groups lordimerial guitarist
Commentaire de hamza (15/06/2006 12:37) :
lord loosers
wa fine a zin
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
lordimperial
07/06/2006 14:17
LOGO DU GROUP
| |
|
|
|
|
|
|
|
VAMPIR
07/06/2006 14:11
Un vampire est dans le monde occidental un mort-vivant condamné à boire du sang pour survivre. Cependant, l'archétype du monstre buveur de sang existe dans le monde entier et remonte à la plus haute antiquité (voire la préhistoire). Cet article cependant se limitera au monstre occidental.
Selon les mythes et légendes, le vampire est le cadavre d'un individu qui, pour diverses raisons variant avec le lieu et la légende, n'a pas vécu, n'est pas mort, et/ou n'a pas été enterré chrétiennement. Ne pouvant trouver le repos éternel, il sort la nuit de son caveau et va sucer le sang des vivants pendant leur sommeil, généralement sa famille, proches, voisins, ou ceux qui lui ont causé du mal mais ce n'est pas toujours le cas (ils peuvent boire du sang animal). Dans nombre de versions modernes, quelqu'un peut devenir vampire, soit en étant mordu (parfois seulement mordu profondément) par un autre vampire et en étant ainsi vidé de son sang, soit en étant mordu, vidé de son sang puis ensuite en buvant un peu du sang du vampire qui lui a sucé le sang.
Antiquité
La Bible déjà, par le biais de la nécromancie, fait des allusions aux vampires.
Dans la Grèce antique, les ombres du royaume d'Hadès sont friandes du sang des victimes (cf. Homère, Odyssée, X, 520-540, « Circé »). Les Anciens craignaient l’errance sur Terre s’ils n’étaient pas enterrés par leur famille ou leurs amis car le repos définitif venait de l’incinération, ce qui explique le mythe de Polynice. Selon Aristée, Platon et Démocrite soutenaient que l'âme peut demeurer auprès des morts privés de sépulture. Les âmes malheureuses et errantes se laissent alors attirer par l'odeur du sang. On peut se référer à Porphyre de Tyr (Des sacrifices, ch. II « Du vrai culte »). Les devins se servaient alors de ces âmes pour deviner les secrets et trésors. Ayant connaissance de leur présence, les hommes cherchèrent des moyens pour les apaiser ou les contrer. En Crète, selon Pausanias, on enfonçait dans la tête de certains morts un clou. Ovide aussi parlera des vampires. Théocrite note aussi les empuses (spectres multiformes de la nuit pouvant se muer en monstres innommables ou en créatures de rêve, aussi appelées démons de midi).
Dans l'Empire Romain, on trouve la loi Jus Pontificum selon laquelle les corps ne devaient pas être laissés sans sépulture. De plus, les tombes étaient protégées contre les voleurs et ennemis. Les violations étaient considérées comme sacrilège et punies par la mort. On rencontre Lamia, une goule nécrophage, reine des succubes dévorant les fœtus et effrayant les enfants la nuit (Horace, Art poétique, 340). De Lamia viennent les lamies, plus nécrophages que vampires : lascives, ondoyantes, serpentines, avides de stupre et de mort, aux pieds de cheval et aux yeux de dragon. Elle attiraient les hommes pour les dévorer et peuvent s'apparenter aux succubes. Elles prenaient le surnom plus connu de stryges à cause de leurs cris perçants. On note aussi les striges :démons femelles ailées munies de serres et les omosceles (démons aux pieds d'ânes qui s'attaquaient aux voyageurs égarés).
Causes rationnelles du vampirisme
Plusieurs causes parfaitement rationnelles peuvent expliquer de nombreux cas de supposé vampirisme. Cependant, il semble que même cumulés, elles ne suffisent pas à expliquer la totalité des cas.
Parmi les causes invoquées, citons :
- La rage :
- l'hyperesthésie : les malades craignent les lumières trop dures (les vampires, celle du soleil), et les fortes odeurs (les vampires, celle de l'ail)
- l'hydrophobie : les malades avancés ont d'insoutenables sensations de brûlure en cas de contact avec l'eau (les vampires, avec l'eau bénite)
- les insomnies : les malades souffrent d'insomnie (les vampires ne vivent que la nuit).
- Catalepsie
- Enterrement accidentel : voir le cas d’Alexandre Anderson, rapporté par Colin de Plancey [3]
- La porphyrie. C'est une forme extrême d'anémie, maladie congénitale très rare (1 cas sur 200000), dûe à une anomalie du composant de l'hémoglobine. Elle se traite par l'injection de molécules d'hémoglobine. Elle se manifeste généralement par une urine rouge, une hyperpilosité (hypertrichose) et des malformations dentaires. Cependant, la « maladie du vampirisme », que l'on peut trouver chez certaines personnes en Transylvanie et en Roumanie, ou dont la lignée génétique remonte à des personnes originaires de ces contrées, n'a aucun lien avec la porphyrie.
- Xeroderma
- Lupus
- Terres riches en arsenic. Les eaux arsenicales préservent les corps, ce qui peut expliquer certains cas de cadavres préservés. Les cas les plus célèbres de vampirisme sont signalées en terre orthodoxe, où la non-putréfaction est signe diabolique (au contraire du catholicisme qui la considère comme un signe divin).
- Tuberculose : la propagation du vampirisme ressemble beaucoup à celle de la tuberculose (en) [4]
- On dit également que la famille de Dracula était contaminée par une maladie qui nécessitait un apport de sang constant.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Sadisme
07/06/2006 13:24
Sadisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le sadisme est la recherche de plaisir dans la souffrance (physique ou morale : domination, contrôle,...) volontairement infligée à autrui (éventuellement un animal). Même si le sadisme peut exister indépendamment des activités sexuelles, il y est fréquemment associé. Plus encore, certaines personnes ne peuvent avoir de relations sexuelles satisfaisantes sans infliger de souffrances à autrui.
Le terme a été forgé à partir du nom du philosophe des Lumières, Sade, dont les écrits mettent en scène des actions de ce type.
Le sadisme est lié au masochisme et plus généralement à toutes les activités susceptibles de provoquer de la souffrance : torture, bondage,...
Psychanalyse du sadisme
Le sadisme fut essentiellement rattaché par Freud à l'activité sexuelle à proprement parler. Mais l'emploi désigna déjà chez lui la volonté d'infliger de la souffrance au-delà de la sexologie. Par la suite, d'autres auteurs retiendront cette compréhesion du sadisme hors activité sexuelle. Le sadisme se comprend alors comme manifestation d'une pulsion de mort, mêlée à une pulsion sexuelle, mais renvoyant à la sexualité psychique plus qu'à un acte à proprement parler.
Le concept renvoie à d'autres points, comme le fantasme de scène primitive. La scène originaire est la perception par l'enfant, ou le fantasme, de voir l'activité sexuelle des parents. Ce rapport sexuel parental sera souvent perçu comme un acte sadique de la part du père. Cette scène originaire, hautement débattue, organisant largement la vie fantasmatique, le sadisme y renvoie.
En psychanalyse, le sadisme est une perversion, et la défense contre le sadisme est commune dans la névrose, en particulier dans la névrose obsessionnelle, qui représente une défense contre le sadisme-anal, basé sur le fantasme de contrôler les excréments.
| |
|
|
|
|